La découverte – le déblocage

La découverte du message en Picardie : 1980

C’est grâce à l’article sur les apparitions christiques de D. en Normandie dans la revue Atlantis de janvier 1980 que notre groupe réussit en Picardie, malgré les obstacles à  trouver le lieu de Dozulé et la personne concernée : Madeleine Aumont.
Cela permettra à notre professeur de yoga et ami, Albert Delbauche, d’arriver le soir du 26/12/1980 à Dozulé et de rencontrer Madeleine le 27 décembre.

Madeleine dit qu’elle est contente et soulagée d’avoir enfin de l’aide : « J’attendais quelqu’un, je savais que quelqu’un viendrait m’aider dans ma tâche. »

L’année du déblocage : 1981

Albert, aidé de ses amis et élèves de yoga, se mobilise, non sans embûches, pour faire sortir le  message de « l’ombre du tiroir »

Janvier 1981 : contact avec la propriétaire du terrain de la butte dans la région parisienne afin de lui en demander l’accès pour le 28 mars . Bien disposée, dans un 1er temps, l’intervention de 2 policiers en civil la freine dans son élan. Nous aurons une réponse négative.

La découverte du message en Picardie : 1980

C’est grâce à l’article sur les apparitions christiques de D. en Normandie dans la revue Atlantis de janvier 1980 que notre groupe réussit en Picardie, malgré les obstacles à  trouver le lieu de Dozulé et la personne concernée : Madeleine Aumont.
Cela permettra à notre professeur de yoga et ami, Albert Delbauche, d’arriver le soir du 26/12/1980 à Dozulé et de rencontrer Madeleine le 27 décembre.

Madeleine dit qu’elle est contente et soulagée d’avoir enfin de l’aide : « J’attendais quelqu’un, je savais que quelqu’un viendrait m’aider dans ma tâche. »

L’année du déblocage : 1981

Albert, aidé de ses amis et élèves de yoga, se mobilise, non sans embûches, pour faire sortir le  message de « l’ombre du tiroir »

Janvier 1981 : contact avec la propriétaire du terrain de la butte dans la région parisienne afin de lui en demander l’accès pour le 28 mars . Bien disposée, dans un 1er temps, l’intervention de 2 policiers en civil la freine dans son élan. Nous aurons une réponse négative.

Le petit groupe autour de Madeleine la met en garde par rapport à Albert : chez Suzanne elle lui fait subir « l’épreuve de la croix ». Cela confirme la confiance de Madeleine envers Albert.

Albert Delbauche chez Suzanne et Louis Avoyne après l’épreuve de la croix

  • février 1981 : nous complétons le manuscrit de Gérard Cordonnier avec les dernières apparitions et nous l’envoyons à Mgr Lustiger puis à tous les archevêques.
  • 6 mois d’enquête suivront où le groupe se relaiera chez Mr et Mme Avoyne pour recueillir le message, les informations, les détails…… régulièrement conforté par des odeurs d’encens et régulièrement surveillé par une police en civil.
  • Contact avec Mgr Badré pour demander l’autorisation de la fête solennelle du 28 mars.  Celui-ci en réfère à Mgr Banwarth de Soissons (02) qui, avec le père Trouslard, nuira beaucoup  à notre groupe en nous étiquetant de secte.

Mgr Badré et le maire de Dozulé refusent la procession  demandée.

Le 28 mars 1981 nous inaugurons la 1ere procession au lieu de la croix en montant simplement à la haute butte à 4h30 du matin. Une trentaine de personnes était venue de Picardie créant la surprise de Mr et Mme Avoyne.

Ils passent  cette belle journée ensoleillée avec nous et nous pique-niquons à la chapelle de Clermont puisque le lieu de la haute butte n’est pas accessible.

Le soir, une messe est prévue à Dozulé. Nous nous y rendons.

Mme Odette de Lannoy raconte, dans son livre « Dozulé, un témoignage au service de la vérité » : L’abbé Queudeville est inquiet « il y a des personnes qui viennent pour une manifestation interdite par Monseigneur », « .Au bout de quelques minutes une foule arrive …..Mr le curé n’est pas content… Il dit « vous ne devez pas venir ici, Monseigneur ne veut pas de manifestation, allez-vous-en » Mais eux très dignes, très calmes répètent « Nous venons pour entendre la messe, vous n’avez pas le droit de nous la refuser »… Alors Mr le curé va chercher des chaises. Il commence à dire sa messe….».

En juin 1981, la prière est mise en place avec l’accord du curé par l’intermédiaire de Madeleine qui en avise Albert Delbauche par courrier

La prière a lieu d’abord dans l’église avec Suzanne et Louis Avoyne car la chapelle de l’école St Joseph est fermée.

Puis à la Butte car l’église sera également fermée. Depuis cette date, la prière est ininterrompue.

C’est à cette époque que nous faisons imprimer la prière